A Henriette de Alain

Bonjour Henriette, Bonjour mon Amie, 
Au nom de tous les bridgeurs de Mennecy et j’associe ceux de Ballancourt, tu vas nous manquer infiniment. Je ne parlerai pas de tous tes talents qui étaient nombreux, peinture exceptionnelle, tennis toujours active,  mais aussi le bridge. Jusqu’à la fin tu étais  passionnée.  Tu as commencé le bridge en 1984 au club de Mennecy. Tu as passé comme beaucoup d’entre nous tous les échelons pour arriver durant plusieurs années 2ème série pique. Aujourd’hui tu es la 6286 meilleure joueuse en France. Tu as participé à de très nombreuses compétitions, et à nos tournois. Tu as donné, beaucoup de ton temps à notre club pour son développement, son rayonnement. 
Et tu fus l’une des personnes exceptionnelles qui m’a accueilli, conduit dans ce merveilleux club lors de mon arrivée. Tu m’as toujours donné ton affection, amitié, tendresse. 
Nous avons eu la chance d’avoir connu un être, une femme avec des qualités exceptionnelles de courage pour vivrede bonté, de convivialité, de patience,  du respect des autres, le respect de son partenaire, comme de ses adversaires. 
Merci pour ton dévouement ta gentillesse,  ton sourire, la gaieté que tu apportes aux autres. Je n’oublie pas tes réceptions et nos conversations sur nos enfants, nos difficultés, la vie quoi. Nous en parlions encore en juillet car j’avais eu des STENTS et toi aussi. Et tu me disais «fait attention dans quelques mois tu seras un peu fatigué comme moi en ce moment mais ce n’est rien ». Lors des repas au club la danse avec François Noel. On aurait dit que c’était le premier jour de votre  rencontre.  Duo magique, passionnément amoureux merveilleux à vous voir.  Une belle leçon de vie. 
Merci de m’avoir permis de te côtoyer.  
Il est des chagrins bien difficiles à surmonter quand disparaît un être cher. Mais quand la peine s’atténuera, il restera les plus beaux souvenirs. Permettez- moi au nom de tous les bridgeurs dapporter toute notre amitié à François Noel et sa famille et de vous offrir nos plus sincères condoléances. 
Nous ne t’oublierons pas  ma chère Henriette 
Pour ne pas faillir à ma tradition voici la pensée du jour, Jean d’ORMESSON a dit :  
Il y a quelque chose de plus fort que la mort c’est la présence des absents dans la mémoire des vivants.  
Henriette on t’aimera toujours. 
Alain

 

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