Jean Claude Berthault. Un mot d’Alain

Bonjour Jean-Claude, notre Ami,
Au nom de tous les bridgeurs du club de Mennecy, tu vas nous manquer; tu nous manques infiniment.
Tu as pris ta première licence le 11 septembre 2008 au club et tu ne l’as jamais quitté. A 63 ans, l’âge où tout commence, recommence il faut apprendre, toujours apprendre le bridge. Mais aussi jouer se faire plaisir. Tu as comme tous, pris des cours, persévéré, joué, mais aussi perdu et gagné. Chaque année, tu as gravi les échelons du succès jusqu’à être 2ème série k soit dans les 17000 meilleurs joueurs en France sur les 90000 licenciés. Le temps des cours était pour toi un moment de bonheur, écouter mais voir les failles, poser des questions très pertinentes. La logique, la rigueur, les statistiques ton univers personnel. Heureusement, nos profs sont exceptionnels, passionnés. Ils te répondaient avec affection et bonne humeur. Moment de rigolade, de plaisir, de détente, d’entente, de complicité d’être entre nous.Ton enthousiasme pour participer aux nombreuses compétitions du club faisait plaisir à voir. Mais tu étais aussi un capitaine d’équipe pour les compétitions Fédérales comme dans ta vie.
Merci pour ton dévouement, ton implication pour notre club, pour son rayonnement, ton merveilleux sourire, ton esprit vif, ta connaissance, ta joie de vivre, ta façon d’être, ta disponibilité. Un coup de fil : peux- tu venir, il manque une personne ? et notre Jean-Claude me disait oui j’arrive. Fidèle en amitié, Jean Claude était un homme sur qui l’on pouvait compter. Sa gentillesse et son sens de l’humour faisait partie intégrante de son caractère. Ta générosité, tu donnais parfois plus que le prix demandé et tu disais pour le Club. Tu as tout de suite compris. Le bridge était une passion où la joie, le bonheur de gagner nous amène au paradis mais on est vite rattrapé par les moments où l’on perd ; le doute s’installe le alors ; il faut se raccrocher apprendre et on gagne à nouveau avec son, ses partenaires, ses amis (Jean, Françoise). He oui nous sommes une grande famille.
Tu as fermé ta vie comme un livre d’images, emportant avec toi tes plus beaux
souvenirs mais laissant à l’âme de chacun d’entre nous, une peine immense.
Au nom de tous les bridgeurs nous te présentons Marie Noelle, à vos enfants et petits enfants nos plus sincères condoléances. Il est essentiel pour nous de vous assurer de notre
soutien très affectueux. Nous ne t’oublierons pas notre ami Jean-Claude
Pour ne pas faillir à la tradition voici la pensée du jour de Victor HUGO: Tu n’es plus là où tu étais, mais tu es partout où je suis.

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